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ŸUMA



Auteurs / compositeurs / interprètes : Sabrine Jehnani et Ramy Zoghlami
Réalisation : Thierry Salvert, Nedjma Berder assisté de Matthias Germain
Montage : Julien Cadillac

ŸUMA Memo

En concerts :

30 juin 2018 – Grenoble, Festival Voici Nos Suds
22 juillet 2018 – Carhaix, Festival Les Vieilles Charrues
25 juillet Sines, Festival Musicas do Mundo (Portugal)
28 juillet Cala Gonone jazz Festival – Sardaigne
20 septembre 2018 – Montpellier, Festival Arabesques
22 septembre 2018 Tenerife, Festival Boreal (Canary Islands)
20 octobre 2018 – Paris, Institut du Monde Arabe
26 octobre Marseille Maison du chant
27 octobre 208 – Nice, La Black Box
13 novembre 2018 – Canteleux, Espace François Mitterrand
16 novembre 2018 – Fouesnant, l’Archipel
17 novembre 2018 – Trévou Tréguignec, Le Sillon
26 janvier 2019- Gerzat, Centre Culturel
1er mars 2019 – Morlaix, Espace du Roudour
2 mars 2019 – Coutances, Théâtre de Coutances
15 mars 2019 – Questembert, Centre Culturel L’Asphodele
28 mars 2019 – Limoges, CC Jean Gagnant
30 mars 2019 – Faches Thumesnil, Les Arcades

ghbar njoum / poussière d’étoiles

Sabrine Jenhani chant et compositions
Ramy Zoghlemi chant, guitare et compositions

Entre les anciens mystiques orientaux, la folk-soul acoustique, la férocité d’un Desert Blues et la fébrilité de la musique néo-arabe alternative.

Apparu sur la planète musique le 20 décembre 2015, Ÿuma se distingue sur la toile par des « mashups » originaux de chansons orientales et occidentales.
Ainsi le duo établit des passerelles entre les cultures des deux rives de la Méditerranée. Aujourd’hui l’indie folk Ÿuma s’affirme comme un des leader de la musique alternative tunisienne.

Plasticienne et peintre, diplômée de l’école des beaux-arts de Tunis, Sabrine Jenhani a très tôt découvert sa passion pour le chant et l’écriture. Jeune chanteuse dans des groupes de rock puis approchée par un célèbre club de Tunis, Sabrine visite (h)ardemment les grandes voix du jazz . Le « job » tous les soirs a su sculpter sa voix. Durant ces années formatrices elle écrit dans la presse culturelle la plus active de la capitale, et se trouve ainsi des deux cotés du miroir. Précurseure de la scène underground tunisienne et déjà icône dans son pays, aujourd’hui l’ auteure compositrice souffle avec Yuma un vent nouveau sur le devant de l’actualité artistique du monde arabe.

Formé dans les premiers groupes de rock de Tunis, Ramy Zoghlami a appris la musique en autodidacte, sur les scènes clandestines de la banlieue sud de la capitale. Guitariste et chanteur, multipliant les collaborations sur des projets de Rock-Inde et musique électronique Ramy est tout d’abord un cinéaste. Ce sont des années de scénarios et de plateaux de tournages qui ont orienté sa musique et son écriture vers un univers de poésie et de mythes.

« CHURA » (ed. innacor – l’autre distribution / believe)
En Mars 2016 Ÿuma présente un 1er opus auto-produit. Chura fait tout de suite de ce duo un emblème de la culture populaire tunisienne.
Auto-production tout en douceur et en discrétion, une superposition subtile, presque minimaliste, de voix et de guitare acoustique. Une évasion dans un univers crée par Ÿuma de toute pièce qui mélange émotion, nostalgie, poésie et culture tunisienne.
Ÿuma enchaîne les succès et fait plusieurs scènes de festivals prestigieux en Tunisie tels le Festival International de Hammamet ou de Siccajazz au Kef.
Avril 2016 aux Journées Musicales de Carthage, Sabrine et Ramy rencontrent le label innacor lors de rencontres professionnelles à l’initiative du réseau des musiques du monde Zone Franche.
Le duo n’a toujours pas un an et fait ses premières scènes en Allemagne au Festival de Reepherbahn à Hambourg puis en France.

A l’initiative du producteur et éditeur Innacor, une résidence à La Grande Boutique en Bretagne est organisée et quelques concerts avec la complicité de la Cordonnerie à Romans, la maison du chant à Marseille et le Petit Bain à Paris dans le cadre du festival Villes des Musiques du Monde.
C’est à la suite de ce premier accompagnement qu’INNACOR et ŸUMA décident d’entrer en studio.
Dès janvier 12 titres sont enregistrés par Antonin Volson (*) et quelques musiciens y sont conviés : Gaetan Samson percussions Jean-Denis Moreau violon, alto Yves-Pol Ruelloux violoncelle Antonin Volson basse
(*) Batteur, percussionniste notamment de Badume’s Band (discographie innacor records), backing band de la légende vivante éthiopienne Mahmoud Ahmed. Antonin en est le principal oeuvrier-arrangeur.

DIRECTION ARTISTIQUE
SKANDER BESBES aka SKNDR
http://www.linstant-m.tn/article_1423_skndr-artiste-hybride-precurseur-de-la-vague- electro-en-tunisie..html

LE MIX > C’est à la friche articole « la grande boutique » lors d’une master class à l’initiative d’Erik Marchand et Mehdi Haddab dans le cadre de Kreiz Breizh Akademi #6 « musiques électroniques » que le label manager d’innacor rencontre SKNDR.
La proposition du mix de « poussière d’étoiles / ghbar njoum » se fait naturellement. Les prises d’Antonin Volson (*) sont donc confiées à l’artiste tunisien. ŸUMA réside également à Tunis. Pas de hasard. Bizarre, vous avez dit…

LA COVER / LE LIVRET > La cover de l’album: une calligraphie du street artist tunisien Hosni Hertelli aka Shoof. Une réalisation graphique et un livret de 16 page par l’illustrateur brestois Julien Weber.

LE CLIP > Le producteur, éditeur commence à croiser les compétences avec des partenaires en Tunisie. Auteurs et compositeurs Ramy Zoghlami et Sabrine Jenhani ont dans leurs valises respectives écriture scénaristique et direction photo.
Le label breton fait régulièrement appelle à des créateurs dans l’audiovisuel, les arts plastiques.
Côté Tunisie une nouvelle scène artistique est en mouvement.
Des singularités solidaires prennent forme avec un management, des partenaires, des oeuvriers. Une résidence en Tunisie à Dar Eyquem – Hammamet finalise le « work in progress »
et précise une vision globale.

ŸUMA poussière d’étoiles / ghbar njoum

Poussière d’étoiles / ghbar njoum est donc une continuité, une évolution de Chura. Un album tout aussi surprenant qui vous interpelle, vous fait tendre l’oreille, et vous happe par son univers singulier. Entre les anciens mystiques orientaux, la folk-soul acoustique, la férocité d’un Desert Blues et la fébrilité de la musique néo-arabe alternative.
« Ghbar Njoum » se dresse au carrefour de toutes ces influences. Sans doute, l’intérêt que porte les artistes à la promotion de l’universalité de la culture locale les poussent à faire évoluer celles-ci dans le sens de l’ouverture. Quelques musiciens bretons viennent ici poser sobrement percussions, contrebasse, violoncelle et alto.
Une évasion vers un univers qu’ils se sont créé de toute pièce, fait de fables, d’adages, celles et ceux racontés par leurs grands-mères respectives. La diction poétique est très présente dans les textes de Ÿuma, tant par leurs envolées lyriques que par la sensibilité des mots et de leurs contextes. Sabrine Jenhani et Ramy Zoghlemi nous content l’histoire d’une Tunisie avenante de laquelle ils sont nostalgiques, et nous transmettent à travers leurs textes un héritage inestimable de la culture tunisienne et de ses valeurs.
Mots mêlés, figures allégoriques, mysticisme et sorcellerie, métaphores et personnification, Ÿuma met en avant les formes précieuses de l’oralité tunisienne d’antan, perdues au détriment de l’évolution, du renouvellement continuel de cette langue.
« agis dans ton lieu, pense avec le monde » Edouard Glissant
Ÿuma est à la fois une expérience unique et multiverselle.
L’atout majeur de Ÿuma est sans aucun doute l’intérêt que le duo porte à la valorisation et la fusion entre les expressions musicales méditerranéennes qui constituent en effet le patrimoine commun des européens et des maghrébins.
Cet engagement est l’identité même du groupe. « Ghbar Njoum » démontre qu’il est possible de rapprocher les peuples et d’instaurer un dialogue permanent entre les cultures.

LES RHAPSODIES DE ŸUMA

L’univers de Yuma est celui de l’âme humaine quand, dans le désordre du monde, l’âme cherche son alter ego, son double, sa part manquante : au milieu des mutations politiques, sociales ou culturelles, Yuma prend le parti d’une poésie amoureuse, amoureuse dans le désarroi ou dans la quête, amoureuse dans la solitude et le destin, l’absence, l’attente, le doute et finalement, la révolte et la libération.
De tous temps la poésie a été politique. Or Yuma campe délibérément dans la poésie, de manière exigeante : creusant la langue, celle des sols troublés et des pierres de Tunisie, de ses plaies et de ses quartiers, portant haut les ocres du mot, les lumières du verbe, les teintes crépusculaires et les saveurs et l’incandescente nécessité du poème.
Le cœur est révolutionnaire, parce que finalement le cœur est le nid des toutes les contre- cultures. Yuma part du cœur. Le cœur, c’est l’autre. A l’infini.
Le mode d’expression de Ramy et Sabrine est minimaliste, fonctionne comme le déploiement, leurs chants-poèmes ont les habits de l’humain parce que leur poésie s’écrit dans le dépassement, précise l’incertitude, éclaire les états d’âmes, rompt ce qui entrave.
C’est sans doute pourquoi la musique qu’ils partagent est à chaque fois reçue comme un petit miracle, une thérapie au sens où leurs chants parviennent à soigner les douleurs et les peines de leurs contemporains. Partout où ils se produisent leurs mélodies cicatrisent !
La dernière chose qui les distingue enfin c’est leur manière de se mettre en scène, l’un et l’autre, en miroir, en se reflétant réciproquement, en se mêlant et se démêlant. Parce que l’un
est le contre jour de l’autre, ils sont leur propre fiction, conjuguent pudeur et intimité, s’évadent, nous déjouent.
Alors, dans une délicatesse infinie, ils déploient des mélopées si pures et anciennes que nos cœurs s’ouvrent en grand pour laisser passer la procession de nos pleurs et passions, de nos troubles et de notre abandon.

CLIP (Officiel) ŸUMA / Khallini chwaya

Le clip met en scène cette manière d’être deux et seuls qui est celle de ÿuma. Seuls et deux, et plus encore, l’un-l’autre, noués et dénoués. Ensemble et séparés. Unis et désunis. Ils sont l’écho de l’altérité. Jour et nuit. Le plein et le délié. Ils sont l’hôte, enfin, celui qui accueille et celui qui est accueilli.

Devant cette porte, j’ai attendu un moment, en espérant entendre tes chants,
que je puisse rester vivant.
Aux châteaux volants, sur les galops du Bay (seigneur), on m’a vendu des poèmes,
qui ne valent rien.
Fais moi voir ton ciel, et les nuages de ta passion, tes vents soufflant sur les dunes
et ton désert sombre.
Que je retrouve dans tes yeux, aussi vide que le néant, mon âme entre tes mains,
mon destin sera enfin sain.
Laisse moi donc encore un peu.

www.innacor.com
+33 (0) 6 86 71 80 43
bertranddupont@innacor.com

attachée de presse
mauge.valerie@gmail.com
+33 (0) 6 15 09 18 48

DOSSIER DE PRESSE Ÿuma > télécharger



Sabrine Jenhani
chant et compositions
Ramy Zoghlemi chant, guitare et compositions

Invités :
Antonin Volson contrebasse, percussions
Gaetan Samson bendir, daf
Jean-Denis Moreau violon, alto
Yves-Pol Ruelloux violoncelle
Skander Besbes guitare, synthé, programmation


En écoute 3 titres :
https://soundcloud.com/innacor-rec/sets/yuma-3-titres-poussiere-detoiles/s-gnNLV

YouTube : https://www.youtube.com/channel/UCQDEU3Tb3QkBsK8E0EYxCUw
Facebook : https://www.facebook.com/yumatheduo

Instagram : https://www.instagram.com/yumatheduo


MYCELIUM – JACKY MOLARD
ERIK MARCHAND, BOJAN Z & COSTICA OLAN
PATRICK MOLARD Ceol Mor / light & shade
ŸUMA
CHARKHA
N’DIALE
KREIZ BREIZH AKADEMI 5ed Round
MAMAR KASSEY
KEYVAN CHEMIRANI « AVAZ »
JACKY MOLARD QUARTET
VALENTIN CLASTRIER
BADUME’S BAND & SELAMNESH ZÉMÉNÉ
HELENE LABARRIERE QUARTET
BUSKING